Le rapport d’activités 2023 de l’Interfédé
a été présenté et validé à l’Assemblée générale du 6 juin 2024.
Le rapport d’activités 2022 de l’Interfédé
a été présenté et validé à l’Assemblée générale du 27 juin 2023.
Le rapport d’activités 2021 de l’Interfédé
présenté à l’Assemblée générale du 14 juin 2022.
Les dossiers phares de 2021
- Gestion des impacts de la crise sanitaire sur le secteur CISP :
- Adaptation des activités de formation
- Monitoring des heures de formation
- Monitoring de l’impact économique sur les centres
- Attention portée sur le numérique pour nos publics et pour les travailleurs des CISP
- Suivi des réformes et négociations :
- Réforme de l’accompagnement des demandeurs d’emploi
- Poursuite des négociations sur la révision des AGW CISP et dépenses éligibles
- Refonte de la réforme APE
- Plan de relance de la Wallonie
- Les accords du non marchand wallon
- La nouvelle programmation FSE+
- Production de contenus pour le secteur :
- Production d’un référentiel sur l’accompagnement en CISP
- Analyse des données précarité des stagiaires en CISP
- Évaluation de la mesure « Coup de pouce digital »
- Création d’outils de sensibilisation autour de la validation des compétences
- Finalisation de plusieurs projets vidéo mettant en valeur le secteur
- Publication de l’étude « L’impact des formations de l’Interfédé sur les pratiques professionnelles des formateurs »
- Participation à des projets multi partenariaux :
- Déploiement du projet européen PARS sur la reconnaissance des acquis d’apprentissage en formation
- Participation au projet Start Digital concernant les compétences numériques
- Intégration des CEFO dans les Cités des métiers wallonnes
- Évènement « CISP en action » avec l’ensemble des plateformes sous-régionales
- Renforcement et valorisation du dispositif PMTIC
Le rapport d’activités 2020 de l’Interfédé
présenté à l’Assemblée générale du 23 juin 2021.
Les dossiers phares de 2020
- L’impact de la crise sanitaire sur le secteur CISP
- La réforme de l’accompagnement des demandeurs d’emploi
- La poursuite des négociations sur la révision des AGW CISP et Dépenses éligibles
- La refonte de la réforme APE
- L’attention portée sur le numérique pour nos publics et pour les travailleurs des CISP
- L’adaptation de l’offre de service pour assurer la continuité du service CEFO pendant la crise sanitaire
- Le renforcement de l’articulation CEFO/CDM
- L’adaptation des activités de formation aux conditions de la crise sanitaire liée au Covid-19
- Le déploiement du projet européen sur la reconnaissance des acquis d’apprentissage en formation
- La participation de l’Interfédé au projet Start Digital concernant les compétences numériques
- La production d’un référentiel sur l’accompagnement en CISP
- La création d’outils de sensibilisation autour de la validation des compétences
- La publication de l’étude « L’impact des formations de l’Interfédé sur les pratiques professionnelles des formateurs »
- Le renforcement et la valorisation du dispositif PMTIC
- Le monitoring des heures de formation et de l’impact économique de la crise Covid-19 sur les centres
- La mise en route de plusieurs projets vidéos mettant en valeur le secteur
Le rapport d’activités 2019 de l’Interfédé
présenté à l’Assemblée générale du 11 juin 2020.
Les dossiers phares de 2019
- L’application de l’arrêté CISP revisité
- L’entrée en vigueur de l’arrêté Dépenses éligibles
- Le débat politique du secteur CISP autour de son Mémorandum 2019 et les actions locales des plateformes CISP
- L’analyse de la DRP 2019-2024
- La validation (toute temporaire) du nouveau contrat de coopération
- Les hauts et les bas du dossier unique du demandeur d’emploi
- Les prémices de l’accompagnement dit adapté
- La refonte avortée de la réforme APE
- L’avenir du dispositif CEFO
- Le renforcement des actions entre CISP et CEFO
- La refonte du programme de formation
- La montée en puissance des groupes d’échange de pratiques
- Le lancement du projet européen sur la reconnaissance des acquis d’apprentissage en formation
- Les avancées de la reconnaissance et la validation des compétences
- Le défi d’un projet européen sur le développement des compétences numériques
- La visibilité médiatique et les mobilisations du secteur
- Les portes ouvertes de l’Interfédé
Le rapport moral 2018 de l’Interfédé
présenté à l’Assemblée générale du 26 juin 2019.
2018, une année de changements
L’année 2018 est une année de changements et de bouleversements. Changement au niveau de l’équipe de l’Interfédé suite au départ de son secrétaire général. Après 10 ans d’un engagement sans relâche au service du secteur, il est parti vers d’autres aventures. La relève est un beau challenge où chaque jour est un vrai défi. Changement aussi parce que la nouvelle donne politique a conduit le secteur à de nouvelles stratégies de négociations. Bouleversements et rebondissements suite aux multiples négociations que nous avons menées sur des dossiers aux enjeux oh combien essentiels pour l’avenir du secteur CISP.
L’équipe, le conseil d’administration, les fédérations, les CISP et leurs représentants se sont investis sans jamais faiblir face aux politiques offensives pilotées à l’encontre de notre secteur et de l’insertion socioprofessionnelle des demandeurs d’emploi les plus démunis mais pourtant outillés de compétences multiples. (…)
(…) Soulignons que l’année 2018 se clôture sur de fortes inquiétudes, questionnements et une vraie insécurisation sur le futur des CISP et des demandeurs d’emploi fragilisés. 2019 s’annonce tout aussi peu rassurante, tant les dossiers « chauds » sont toujours d’actualité. L’année sera tout aussi chargée, nous le savons. Avec le soutien de nos partenaires, nous continuerons à plaider pour l’émancipation et l’inclusion sociale et professionnelle des publics fragilisés. 2019 est aussi une année électorale et à cette occasion, l’Interfédé commentera son mémorandum et ses revendications.
En conclusion, nous plaidons pour plus de sérénité dans les débats et négociations avec le nouveau Gouvernement wallon en vue d’aboutir à des réformes concertées qui renforceront l’action associative et celle des CISP en particulier.
Le rapport d’activités 2017 de l’Interfédé
L’Interfédé d’aujourd’hui à demain
“Aujourd’hui, nos missions et nos objectifs sont désormais déterminés par le décret CISP. Nous devons continuer à accompagner et interroger la mise en œuvre de cette réforme dans nos pratiques, renforcer et développer de nouvelles compétences avec et pour notre public. (…)
Nos réponses aux problématiques rencontrées par le secteur doivent avant tout être centrées sur notre public, ses projets et besoins. C’est en cela que nous sommes le secteur de l’insertion socioprofessionnelle et que nous entendons bien le rester. Nos fondamentaux sont ancrés dans le social, l’économique et le pédagogique. Notre action, fondée sur les valeurs de justice sociale et de solidarité, vise l’émancipation individuelle et collective des stagiaires qui entrent en formation dans nos centres. (…)
Aujourd’hui et demain, nous devons développer la mutualisation de nos pratiques, occuper le terrain de manière constructive et active. Nous devons amplifier les collaborations, créer des alliances respectueuses de nos partenaires, de nos interlocuteurs et de nous-mêmes. Et là où c’est nécessaire, résister à l’exclusion et à la stigmatisation de notre public.”
Le rapport d’activités 2022 de l’Interfédé
a été présenté et validé à l’Assemblée générale du 27 juin 2023.
Le rapport d’activités 2021 de l’Interfédé
présenté à l’Assemblée générale du 14 juin 2022.
Les dossiers phares de 2021
- Gestion des impacts de la crise sanitaire sur le secteur CISP :
- Adaptation des activités de formation
- Monitoring des heures de formation
- Monitoring de l’impact économique sur les centres
- Attention portée sur le numérique pour nos publics et pour les travailleurs des CISP
- Suivi des réformes et négociations :
- Réforme de l’accompagnement des demandeurs d’emploi
- Poursuite des négociations sur la révision des AGW CISP et dépenses éligibles
- Refonte de la réforme APE
- Plan de relance de la Wallonie
- Les accords du non marchand wallon
- La nouvelle programmation FSE+
- Production de contenus pour le secteur :
- Production d’un référentiel sur l’accompagnement en CISP
- Analyse des données précarité des stagiaires en CISP
- Évaluation de la mesure « Coup de pouce digital »
- Création d’outils de sensibilisation autour de la validation des compétences
- Finalisation de plusieurs projets vidéo mettant en valeur le secteur
- Publication de l’étude « L’impact des formations de l’Interfédé sur les pratiques professionnelles des formateurs »
- Participation à des projets multi partenariaux :
- Déploiement du projet européen PARS sur la reconnaissance des acquis d’apprentissage en formation
- Participation au projet Start Digital concernant les compétences numériques
- Intégration des CEFO dans les Cités des métiers wallonnes
- Évènement « CISP en action » avec l’ensemble des plateformes sous-régionales
- Renforcement et valorisation du dispositif PMTIC
Le rapport d’activités 2020 de l’Interfédé
présenté à l’Assemblée générale du 23 juin 2021.
Les dossiers phares de 2020
- L’impact de la crise sanitaire sur le secteur CISP
- La réforme de l’accompagnement des demandeurs d’emploi
- La poursuite des négociations sur la révision des AGW CISP et Dépenses éligibles
- La refonte de la réforme APE
- L’attention portée sur le numérique pour nos publics et pour les travailleurs des CISP
- L’adaptation de l’offre de service pour assurer la continuité du service CEFO pendant la crise sanitaire
- Le renforcement de l’articulation CEFO/CDM
- L’adaptation des activités de formation aux conditions de la crise sanitaire liée au Covid-19
- Le déploiement du projet européen sur la reconnaissance des acquis d’apprentissage en formation
- La participation de l’Interfédé au projet Start Digital concernant les compétences numériques
- La production d’un référentiel sur l’accompagnement en CISP
- La création d’outils de sensibilisation autour de la validation des compétences
- La publication de l’étude « L’impact des formations de l’Interfédé sur les pratiques professionnelles des formateurs »
- Le renforcement et la valorisation du dispositif PMTIC
- Le monitoring des heures de formation et de l’impact économique de la crise Covid-19 sur les centres
- La mise en route de plusieurs projets vidéos mettant en valeur le secteur
Le rapport d’activités 2019 de l’Interfédé
présenté à l’Assemblée générale du 11 juin 2020.
Les dossiers phares de 2019
- L’application de l’arrêté CISP revisité
- L’entrée en vigueur de l’arrêté Dépenses éligibles
- Le débat politique du secteur CISP autour de son Mémorandum 2019 et les actions locales des plateformes CISP
- L’analyse de la DRP 2019-2024
- La validation (toute temporaire) du nouveau contrat de coopération
- Les hauts et les bas du dossier unique du demandeur d’emploi
- Les prémices de l’accompagnement dit adapté
- La refonte avortée de la réforme APE
- L’avenir du dispositif CEFO
- Le renforcement des actions entre CISP et CEFO
- La refonte du programme de formation
- La montée en puissance des groupes d’échange de pratiques
- Le lancement du projet européen sur la reconnaissance des acquis d’apprentissage en formation
- Les avancées de la reconnaissance et la validation des compétences
- Le défi d’un projet européen sur le développement des compétences numériques
- La visibilité médiatique et les mobilisations du secteur
- Les portes ouvertes de l’Interfédé
Le rapport moral 2018 de l’Interfédé
présenté à l’Assemblée générale du 26 juin 2019.
2018, une année de changements
L’année 2018 est une année de changements et de bouleversements. Changement au niveau de l’équipe de l’Interfédé suite au départ de son secrétaire général. Après 10 ans d’un engagement sans relâche au service du secteur, il est parti vers d’autres aventures. La relève est un beau challenge où chaque jour est un vrai défi. Changement aussi parce que la nouvelle donne politique a conduit le secteur à de nouvelles stratégies de négociations. Bouleversements et rebondissements suite aux multiples négociations que nous avons menées sur des dossiers aux enjeux oh combien essentiels pour l’avenir du secteur CISP.
L’équipe, le conseil d’administration, les fédérations, les CISP et leurs représentants se sont investis sans jamais faiblir face aux politiques offensives pilotées à l’encontre de notre secteur et de l’insertion socioprofessionnelle des demandeurs d’emploi les plus démunis mais pourtant outillés de compétences multiples. (…)
(…) Soulignons que l’année 2018 se clôture sur de fortes inquiétudes, questionnements et une vraie insécurisation sur le futur des CISP et des demandeurs d’emploi fragilisés. 2019 s’annonce tout aussi peu rassurante, tant les dossiers « chauds » sont toujours d’actualité. L’année sera tout aussi chargée, nous le savons. Avec le soutien de nos partenaires, nous continuerons à plaider pour l’émancipation et l’inclusion sociale et professionnelle des publics fragilisés. 2019 est aussi une année électorale et à cette occasion, l’Interfédé commentera son mémorandum et ses revendications.
En conclusion, nous plaidons pour plus de sérénité dans les débats et négociations avec le nouveau Gouvernement wallon en vue d’aboutir à des réformes concertées qui renforceront l’action associative et celle des CISP en particulier.
Le rapport d’activités 2017 de l’Interfédé
L’Interfédé d’aujourd’hui à demain
“Aujourd’hui, nos missions et nos objectifs sont désormais déterminés par le décret CISP. Nous devons continuer à accompagner et interroger la mise en œuvre de cette réforme dans nos pratiques, renforcer et développer de nouvelles compétences avec et pour notre public. (…)
Nos réponses aux problématiques rencontrées par le secteur doivent avant tout être centrées sur notre public, ses projets et besoins. C’est en cela que nous sommes le secteur de l’insertion socioprofessionnelle et que nous entendons bien le rester. Nos fondamentaux sont ancrés dans le social, l’économique et le pédagogique. Notre action, fondée sur les valeurs de justice sociale et de solidarité, vise l’émancipation individuelle et collective des stagiaires qui entrent en formation dans nos centres. (…)
Aujourd’hui et demain, nous devons développer la mutualisation de nos pratiques, occuper le terrain de manière constructive et active. Nous devons amplifier les collaborations, créer des alliances respectueuses de nos partenaires, de nos interlocuteurs et de nous-mêmes. Et là où c’est nécessaire, résister à l’exclusion et à la stigmatisation de notre public.”